Par Goni Waday – goni.waday@gmail.com
A deux reprises, la présidente du Tribunal administratif du Littoral en cette audience du 6 octobre 2022 qui marque le retour des vacances judiciaires a mentionné un précédent dans l’affaire en examen. Il s’agit du cas où l’écrivaine Calixthe Beyala qui se plaignait, via l’administration, d’être perturbée par l’activité de la partie aujourd’hui requérante. La fondatrice du «Paradis des anges», une école maternelle et primaire implantée au cœur du chic quartier de Makèpè à Douala, réclame en effet l’annulation d’une décision du ministre de l’Education de base visant à délocaliser son établissement.
La suite de la lecture de cet article (90% du reste du texte) est réservée à nos abonnés
Si vous êtes déjà abonné, bien vouloir vous connecter ici
Se connecter Si vous êtes déja abonné
Accédez à tous nos contenus Premium.
A partir de 1000 FCFA le mois.
Vous voulez vous abonner ? bien vouloir cliquer ici et suivre les indications
A partir de 1000 FCFA le mois.
Vous voulez vous abonner ? bien vouloir cliquer ici et suivre les indications