Par Christophe Bobiokono – cbobio@gmail.com
Le 28 juillet dernier, le Conseil national de la Communication (CNC) donnait de ses nouvelles à travers un communiqué de presse sanctionnant les travaux de sa 31e session extraordinaire tenue ce jour-là. Au menu des travaux, entre autres, le traitement de 17 dossiers concernant la qualité controversée des contenus médiatiques. Les décisions prises par les neuf membres du conseil étaient publiées. Ainsi, des directeurs de publication de neuf (9) organes de presse étaient suspendus de leurs fonctions et de l’exercice du journalisme au Cameroun pour des périodes variant entre un (1) et trois (3) mois ; six autres journalistes étaient frappés eux-aussi de suspension pour des durées d’un (1) à deux (2) mois. Deux organes de presse échappaient totalement à toute sanction et un journaliste de Royal FM s’en sortait avec un avertissement. Et comme toujours, les observateurs attendaient de voir comment les acteurs médiatiques sanctionnés allaient réagir.
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