«Un jour, pendant que je faisais le ménage à la maison, j’ai découvert un sachet noir sous notre lit conjugal. Elle a été incapable de me donner les explications. Je transporte ce fétiche partout où je vais. Je peux même vous le montrer ici.» Cette phrase est d’Augustin, un homme de 37 ans, qui se dit désabusé par un mariage qui a tourné au vinaigre. Il a saisi le Tribunal de premier degré (TPD) d’une requête en divorce. Il veut mettre un point final à sa relation avec Nina, son épouse. Bien que convoquée, la dame ne s’est pas présentée devant le juge à l’audience du 1er septembre 2022. Les débats ont néanmoins été ouverts en son absence.
Augustin déclare avoir fait la connaissance de Nina quelques années plus tôt. Elle était alors une femme respectueuse, pieuse et soumise. Il lui a passé la bague au doigt sans aucune contestation de leurs proches. Il était âgé de 35 ans. Son épouse en avait 27. Sa vie a basculé juste après sans lui laisser la chance de savourer le bonheur dans son foyer. Il affirme que seulement une semaine après leur union, Nina déclenchait des pleurs à des heures tardives. Motif : elle voulait l’accompagner en Europe lors de ses voyages d’affaires dans le but de renouveler sa garde-robe. Pourtant, jure-t-il, «je ne lui ai jamais rien promis de tel avant le mariage», a-t-il déclaré.
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