Par Christophe Bobiokono – cbobio@gmail.com
Le directeur général de la société Camrail, M. Miny Pascal Roger, et ses complices supposés ne répondront pas de l’infraction de «faux en écritures publiques et authentiques». Ils ne comparaîtront d’ailleurs pas devant le Tribunal de grande instance (TGI) du Wouri à Douala où l’Administrateur directeur général de la Société internationale des Travaux ferroviaires (Sitrafer) espérait les faire juger. Ainsi en a décidé le juge d’instruction de la juridiction en bouclant son enquête après examen de la plainte avec constitution de partie civile qu’avait déposée M. Jacques Bimaï le 18 juin 2020. Mme Mimbe Ava Françoise Nathalie, puisqu’il s’agit du magistrat en question, a estimé que l’infraction de faux en écritures publiques et authentiques n’était «pas constituée en l’espèce». Mais elle a conseillé au plaignant de «mieux se pourvoir» pour le reste, s’il le veut, en reconnaissant l’incompétence matérielle du TGI à connaître des faits soumis à son appréciation.
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