C’est un combat pour la vie, peut-être même pour la survie. Celui que mène l’ancien ministre de l’Education nationale, Charles Etoundi, au Centre d’Edition et de Production pour l’Enseignement et la Recherche, le Ceper. Déboulonné du staff dirigeant de la célèbre maison d’édition, alors qu’il y occupait les fonctions de président du conseil d’administration (PCA), l’ancien enseignant ne s’est jamais plié à la décision.
Bien qu’actionnaire au Ceper, l’ex ministre est accusé par ses adversaires de multiplier les astuces et procédures pour s’accrocher à un poste qui, d’ailleurs a disparu. Il continue de s’immiscer dans la gestion de l’entreprise mise en restructuration en 2012. Un imbroglio qui complique l’existence du Ceper qui ne survivrait plus que grâce à une subvention reçue chaque mois du trésor public. Un pan de la bataille était en débat devant le Tribunal administratif du Centre le 7 mars 2023.
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