Les hostilit\u00e9s sont termin\u00e9es entre Jean Jacques Massot Priso, administrateur civil principal \u00e0 la retraite, et le Cr\u00e9dit Foncier du Cameroun (CFC). Apr\u00e8s 7 ans de bataille judiciaire, l\u2019organisme public a d\u00e9finitivement mordu la poussi\u00e8re face \u00e0 l\u2019ancien fonctionnaire qui s\u2019en tire avec 154,3 millions de francs de dommages et int\u00e9r\u00eats d\u00e9cid\u00e9s \u00e0 son profit par deux d\u00e9cisions de justice.<\/p>\n
L\u2019ultime tentative du Cr\u00e9dit Foncier de renverser la vapeur\u00a0 s\u2019est sold\u00e9 par un \u00e9chec devant la Section sociale de la Cour supr\u00eame le 23 septembre dernier. En fait, la haute juridiction examinait ce jour-l\u00e0 le pourvoi introduit par l\u2019entreprise contre l\u2019arr\u00eat rendu par la Cour d\u2019appel du Centre le 14 novembre 2018. L\u2019arr\u00eat attaqu\u00e9 confirme lui-m\u00eame, en tout point, le jugement rendu par le Tribunal de grande instance (TGI) du Mfoundi le 21 novembre 2016. Jugement dans lequel le CFC est condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 son adversaire le montant d\u00e9j\u00e0 mentionn\u00e9 pour rupture abusive de contrat de travail intervenue le 13 mars 2014.<\/p>
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