Par Christophe Bobiokono – cbobio@gmail.com
Depuis que le juge d’instruction du Tribunal militaire de Yaoundé (TMY) a décidé de creuser en profondeur l’implication suspectée de M. Savom, maire de Bibey, dans l’enlèvement et les tortures ayant provoqué le décès de l’homme des médias Martinez Zogo, l’idée de l’existence d’un second commando ayant pris le relai du premier dans le «traitement» de l’animateur-radio n’a pas cessé de prendre de l’ampleur au sein de l’opinion publique, particulièrement sur les réseaux sociaux. Partant de ce que les hommes impliqués dans les violences administrées au défunt après son enlèvement déclarent avoir laissé leur victime «en vie» et en état de «rester en vie», la rumeur au sujet du prétendu second commando paraît crédible.
Or, les documents consultés par Kalara semblent écarter une telle possibilité du fait du faisceau des témoignages recueillis par les différentes enquêtes et expertises médicales ayant précédé l’ouverture de l’information judiciaire. Avec un accent particulier sur les déclarations des membres du commando formé par le lieutenant-colonel Justin Danwé.
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